Telle en est ma conclusion !
J'ai regardé ce week end, le coffret DVD d'une des séries m'ayant le plus marqué.....Fou comment les souvenirs sont sélectifs.
Fou aussi comment notre perception d'une aventure peut changé avec le temps.
Cette série qui eue un succès phénoménale en 1990, m'avait laissé une impression :
Pauvre Émilie !
Ce matin elle m'en laisse une toute autre :
Pauvre Ovila !
Fou comment 17 années et plein de vécu peut nous amener à voir les choses autrement.
C'est certain que j'ai trouvé les fesses de Roy Dupuis toutes aussi belles que lorsque j'avais 20 ans, par-contre les reste de l'histoire m'est apparue bien différente.
C'est certain que l'on parle d'une histoire et de relations interpersonnelles qui datent des débuts 1900, mais il n'en demeure pas moins, qu'il s'agit là de deux êtres qui s'aimaient énormément et dont la peur, la méfiance et le jeu de pouvoir en ont eu raison.
J'ai noté tout plein de passages, sur lesquelles je pourrai élaborer ultérieurement, mais en gros, Émilie Bordeleau me semble une castrante de première.
J'dis pas qu'elle a eu ça facile, mais n'eut été de sa soif de pouvoir et sa manie de vouloir tout contrôler, y'a des saprés chances qu'elle s'en s'aurait sortie autrement et aurait vécu une histoire d'Amour....
Hum ?
J'y pense....c'est même pas une histoire d'Amour c't'affaire là, mais une histoire de passion à une époque où le condom aurait été ben pratique pour ces deux là !
Ovila, en plus de sa passion pour elle, l'aimait vraiment, je crois. Contrairement à se que j'ai pu en penser à 20 ans. Son mal de vivre et son alcoolisme se sont développé au rythme des maladresse qu'il a infligé à sa belle brume....qu'elle s'est jamais gênée pour y remettre en pleine face à la moindre occasion.
(à suivre)
J'ai regardé ce week end, le coffret DVD d'une des séries m'ayant le plus marqué.....Fou comment les souvenirs sont sélectifs.
Fou aussi comment notre perception d'une aventure peut changé avec le temps.
Cette série qui eue un succès phénoménale en 1990, m'avait laissé une impression :
Pauvre Émilie !
Ce matin elle m'en laisse une toute autre :
Pauvre Ovila !
Fou comment 17 années et plein de vécu peut nous amener à voir les choses autrement.
C'est certain que j'ai trouvé les fesses de Roy Dupuis toutes aussi belles que lorsque j'avais 20 ans, par-contre les reste de l'histoire m'est apparue bien différente.
C'est certain que l'on parle d'une histoire et de relations interpersonnelles qui datent des débuts 1900, mais il n'en demeure pas moins, qu'il s'agit là de deux êtres qui s'aimaient énormément et dont la peur, la méfiance et le jeu de pouvoir en ont eu raison.
J'ai noté tout plein de passages, sur lesquelles je pourrai élaborer ultérieurement, mais en gros, Émilie Bordeleau me semble une castrante de première.
J'dis pas qu'elle a eu ça facile, mais n'eut été de sa soif de pouvoir et sa manie de vouloir tout contrôler, y'a des saprés chances qu'elle s'en s'aurait sortie autrement et aurait vécu une histoire d'Amour....
Hum ?
J'y pense....c'est même pas une histoire d'Amour c't'affaire là, mais une histoire de passion à une époque où le condom aurait été ben pratique pour ces deux là !
Ovila, en plus de sa passion pour elle, l'aimait vraiment, je crois. Contrairement à se que j'ai pu en penser à 20 ans. Son mal de vivre et son alcoolisme se sont développé au rythme des maladresse qu'il a infligé à sa belle brume....qu'elle s'est jamais gênée pour y remettre en pleine face à la moindre occasion.
(à suivre)
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